D’ici 2030, la population togolaise sera à environ 11 millions d’habitants et 65% de la population actuelle est jeune. Cette augmentation est due à des facteurs naturels et démographiques et comme conséquence, augmentation des besoins en énergies, combustibles, nourriture, zone d’habitation.
Nous devons agir localement, quoi de mieux que l’implication des jeunes filles dans les politiques et actions de reboisement ou de lutte contre la déforestation.
Au niveau régional, le Togo a pris en 2018, l’engagement de restaurer 1,4 millions de paysages déboisés et dégradés dans le cadre de l’initiative africaine pour la restauration de 100 millions de paysages forestiers (AFR100) à l’horizon 2030. Aussi, le Togo a affiché, au niveau international à la COP 26, sa volonté de réduire de 20,51%, ses émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) de manière inconditionnelle à travers l’aménagement territoriale, la promotion de l’énergie renouvelable et le reboisement à l’horizon 2030 (CDN, 2021).
A travers ce projet, le comité compte à son actif une forêt communautaire dénommé forêt Nana Benz ; le reboisement dans certaines communes et l’appui à certains groupements des femmes pour le reboisement.
