A propos

Le Comité International Ambassadrice de l’Environnement(CIAE) est une organisation à but non lucratif créée en 2019 au Togo. Elle est enregistrée au N°302 du 18-03-2022 MATDDT. Elle a déjà illustré dans la lutte contre les changements climatiques et la promotion du genre à travers diverses activités.

Notre vision est de protéger notre environnement en dotant les populations des outils nécessaires pour leur autonomisation et la résilience face aux changements climatiques. En d’autres termes la promotion du genre et la protection de la biodiversité doivent être la pierre angulaire de tout développement qui se veut durable et inclusif. A cet effet, le Projet Ambassadrice de l’Environnement Vision Planète Verte ambitionne mettre la valorisation de la jeune fille à travers son patrimoine culturel au centre du développement socio-économique avec une vision alignée sur les Objectifs de Développement Durable.

Promotrice du concours ou projet d’évènement Ambassadrice de l’Environnement Vision Planète Verte, le comité apporte sa pierre à l’édifice dans la dynamisation de la feuille de route gouvernementale dans le secteur de la promotion du genre, la protection de l’environnement :

ODD 5 : Egalité des sexes

ODD 13 : Lutter contre les changements climatiques

ODD 15 : Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres

Vision

Notre vision est d’être un acteur de promotion des actions écologiques à fort impact dans la préservation de l’environnement, la préservation des forets et l’amélioration du cadre de vie.

Objectifs

L’objectif général est de renforcer l’engagement populations surtout des femmes et des jeunes filles dans la lutte contre les pollutions, les dégradations de l’environnement et la lutte contre les changements climatiques ; et promouvoir le leadership des femmes dans un monde durable.

Nos missions

  • Promouvoir l’économie verte ou l’entrepreneuriat vert,
  • Sensibiliser la population et le pouvoir publique sur l’importance de la préservation de l’environnement et la lutte contre les changements climatiques,
  • Renforcer la pratique à fort impact environnemental avec les institutions locales et internationales,
  • Promouvoir l’engagement et l’éducation environnement des jeunes pour un développement durable et résilient.

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Ambassadrice de l’Environnement Vision Planète Verte, édition 5 officiellement lancée à Lomé, le 5 juin 2025

À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement célébrée chaque 5 juin, le Comité International Ambassadrice de l’Environnement (CIAE) a organisé une conférence de presse d’envergure à Lomé. Un événement hautement symbolique, qui marque à la fois le bilan des cinq années d’impact du programme Ambassadrice de l’Environnement – Vision Planète Verte et le lancement officiel de sa 5ᵉ édition. Cinq ans d’engagement environnemental et de transformation sociale Dans une ambiance solennelle et militante, les responsables du CIAE ont partagé un bilan aussi inspirant qu’ambitieux : Plus de 20 000 personnes sensibilisées à travers campagnes, activités scolaires, formations et conférences. Près de 10 000 arbres plantés dans plusieurs régions du Togo et dans les pays partenaires. Plus de 5 000 élèves touchés directement dans plus de 12 établissements scolaires. Plus de 200 jeunes filles formées à l’activisme écologique et climatique. 300 kg de déchets plastiques collectés dans le cadre d’actions de salubrité publique. Plus de 10 coopératives féminines accompagnées, dans une logique d’écologie inclusive et de développement local. 6 activités majeures de salubrité publique organisées. Des prix et distinctions notables, dont le Prix Africain de Développement (PADEV) en 2022 à Kigali, ainsi que deux nominations au Togo Top Impact Award. Le ton officiel a été donné par Mme Yaou Mery, Directrice de l’Environnement, Représentant le Ministre de l’environnement et des ressources forestières, parrain de cette initiative. Pour le Ministère sous tutelle, un Togo vert est possible si la jeunesse prend conscience et se mobilise autour de la question environnementale et climatique. Une initiative togolaise qui s’internationalise Initialement ancré au Togo, le projet Ambassadrice de l’Environnement s’est peu à peu étendu à d’autres pays de la sous-région, notamment le Sénégal, le Tchad, le Mali et le Bénin, démontrant le potentiel transformateur de l’engagement des jeunes africains pour la planète. Cette conférence de presse a ainsi été l’occasion de célébrer une trajectoire remarquable, mais aussi de mettre en lumière les défis à venir : accentuer la mobilisation, renforcer les partenariats, et placer davantage la jeunesse au cœur des politiques de durabilité. Lancement de la 5ᵉ édition : jeunesse, écologie et action collective. Une conférence débat sur le thème de la pollution plastique, marquant la journée internationale de l’environnement s’est également tenu en ce jour avec la participation du Maire de la commune Golfe 2 Monsieur KONOU NOUKAFOU Kokou, l’eco Entrepreneur Agbeko Lucien, et la Première Promotrice Malicka KABORE. La cinquième édition du programme, officiellement lancée lors de la conférence, s’annonce ambitieuse. Elle se décline en plusieurs axes : Des projets communautaires écologiques à fort impact. La mobilisation renforcée des établissements scolaires. Le soutien structuré à l’entrepreneuriat féminin vert. Une présence plus forte sur le plan international, avec la participation à des forums, plaidoyers et programmes de coopération. « Nous ne sommes plus à l’étape de la sensibilisation seule. Il faut agir, et c’est la jeunesse togolaise, forte, informée et innovante, qui portera ce changement », a affirmé la présidente du CIAE, Pierre Tété NOMO, promoteur de cette initiative. C’est l’occasion pour l’initiative de remercier les partenaires techniques et financiers et qui continuent toujours de faire confiance à ce projet ( PNB, CETEF, CCIT) Un appel à la mobilisation collective Les appels à candidatures sont ouvertes du 06 Juin au 06 juillet 2025 sur le site www.ambassadriceenvironnement.com Au terme de cette rencontre, les organisateurs ont lancé un appel fort aux institutions publiques, au secteur privé, aux partenaires techniques et financiers, aux ONG, mais aussi aux simples citoyens, pour unir les forces en faveur de la planète. Le CIAE rappelle que les enjeux environnementaux ne peuvent être relevés sans une action conjointe, cohérente et intergénérationnelle. L’heure n’est plus à l’attente, mais à la co-construction.Rendez-vous le 18 Octobre au palais des congrès de Lomé pour élire celle qui va porter le diadème durant l’année 2026. 📣 Rejoignez la dynamique verte !Pour en savoir plus sur le projet ou devenir partenaire de la 5ᵉ édition, contactez : +228 99514929

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Projet « REFOREST FOR A BETTER FUTURE RFBF « , lancé par le Comité International Ambassadrice de l’Environnement (CIAE) ce 21 Février 2025

Les impacts négatifs du changement climat prennent de plus en plus d’ampleurs, dans le monde, surtout dans les pays en développement. Selon le dernier rapport du GIEC, l’année 2024, a été la plus chaude jamais enregistrée, depuis l’époque préindustrielle, et le groupe d’experts intergouvernemental, attire l’attention des décideurs sur l’urgence de mener des actions concrètes et le plus tôt possible pour essayer de renverser la tendance en cours. Il est donc clair que des actions en faveur du climat et de la planète doivent être renforcées et étendues, non seulement à tous les secteurs, mais aussi et surtout à chaque individu et à toutes les communautés, qui devraient s’engager davantage, pour contribuer à l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et à s’adapter aux effets négatifs des changements climatiques. C’est dans cette optique que l’Ambassadrice de l’environnement 2025, afin de contribuer à l’atteinte des objectifs que s’est fixés le Togo, en matière de lutte contre les changements climatiques, partie à la CCNUCC (Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques) et à l’accord de paris, a axé son mandat sur un certain nombre d’actions qui s’alignent, sur la politique environnementale de lutte contre les changements climatiques ( PANCC, CDN), ainsi que sur le PND et de la feuille de route gouvernementale prônée par le chef de l’état, visant à restaurer 25% du couvert végétal national, en mettant en terre un milliard de plants d’ici 2030. L’action baptisée « Reforest For a Better Future (RFBF) » initiée par l’Ambassadrice de l’Environnement vise à renforcer l’éducation à l’environnement, et l’engagement de la jeunesse surtout en milieu scolaire, dont les rôles sont cruciaux, pour renforcer le développement durable et la résilience des communautés face aux changements climatiques; en mettant sous terre au moins un arbre fruitier dans une maison ou école par jour pendant 360 jours. Objectif Général de ce challenge est de renforcer l’action climatique en milieu urbain et scolaire, et susciter plus d’engagement auprès des jeunes, à travers le reboisement et l’éducation à l’écologie dans son ensemble. Les objectifs spécifiques sont scindés comme suit : – Sensibiliser des apprenants d’environ une vingtaine établissements du grand-Lomé et de la région maritime sur les changements climatiques et mettre en terre au moins 3 000 plants. – Pour cette phase au moins 20 000 apprenants du second sont sensibilisés et minimum 5 000 plants sont mis en terre d’ici la fin de l’année 2025. Bénéficiaires directs : Environ 20 000 apprenants seront sensibilisés aux changements climatiques, et seront impliqués de même que le corps enseignant, dans une action continue de reboisement. Une vingtaine d’établissements scolaires du secondaire publics comme privés, seront reboisés. Rappelons également que cette activité rentre toujours dans le cadre du projet programme mandat des lauréates de la quatrième édition du projet d’événement AMBASSADRICE DE L’ENVIRONNEMENT VISION PLANETE VERTE.

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Opération zéro dépotoir sauvage, le Ministre Abdul FOFANA aux côtés

Aller vers une ville propre, c’est possible. Dans un monde où l’insalubrité et la prolifération des déchets plastiques non biodégradables deviennent des enjeux de plus en plus pressants, des actions concrètes s’imposent pour redresser la situation. Le problème de gestion des déchets, en particulier dans les zones urbaines telles que Lomé, prend des proportions inquiétantes. Face à ce fléau, des initiatives citoyennes prennent forme pour restaurer la propreté des villes et sensibiliser la population à la gestion durable des déchets. C’est dans ce cadre que le Comité International Ambassadrice de l’Environnement, en collaboration avec la mairie du Golfe 5, a organisé samedi une journée spéciale de salubrité dans le quartier Agbalépédo, une initiative marquante dans la lutte contre la pollution et la prolifération des dépotoirs sauvages à Lomé. Une initiative citoyenne porteuse de changement L’opération « Zéro dépotoir » a été mise en place pour lutter contre les dépotoirs sauvages qui polluent les rues de Lomé, en particulier dans les quartiers périphériques. Pierre Tété NOMO, promoteur de cette initiative, a souligné l’importance de l’engagement des jeunes dans cette lutte. « En tant que jeunes, nous nous sommes engagés aujourd’hui à amener nos pères à aller vers l’action citoyenne, à être plus éco-responsables », a-t-il déclaré avec conviction. Cette journée de salubrité a mobilisé un grand nombre de personnes : enfants, jeunes et même personnes âgées, tous unis pour un même objectif : rendre Lomé plus propre. Une activité essentielle pour la santé publique Selon Mlle DJATOR LA-GLOIRE, ambassadrice de l’Environnement et l’une des figures de proue de cette opération, l’importance d’une telle activité réside dans sa capacité à prévenir la prolifération des maladies liées à l’insalubrité. « L’objectif principal est de rendre propre notre milieu de vie pour éviter que des maladies ne se propagent à cause des déchets », a-t-elle affirmé. En plus de la collecte des déchets, cette journée a également été l’occasion de sensibiliser la population locale sur les dangers de l’accumulation des déchets plastiques et la nécessité d’adopter des comportements plus responsables pour protéger l’environnement. Le reboisement, une autre facette de l’opération L’opération n’a pas seulement consisté à nettoyer la ville, mais a aussi intégré un volet important de reboisement. Des jeunes plants ont été mis en terre, contribuant ainsi à la préservation de la biodiversité et au verdissement de la ville. L’événement a été marqué par la visite du ministre délégué auprès du ministère du Développement à la base, de l’Inclusion financière, de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, Abdul-Fahd Fofana. Ce dernier a activement participé à la mise en terre de jeunes plants, symbolisant ainsi le soutien du gouvernement à ces initiatives écologiques. Le Comité International Ambassadrice de l’Environnement a tenu à exprimer sa gratitude à ses partenaires pour leur soutien indéfectible. Parmi ceux-ci figurent l’association Vivre pour Servir, le Comité Miss Grand Aflao, la mairie du Golfe 5 et la société Pommade Noir Bonus (PNB), qui ont apporté une aide logistique et matérielle précieuse à la réussite de cette opération. Cette journée n’est que le début d’un mouvement plus vaste qui s’efforce de faire de Lomé, et plus largement du Togo, un modèle en matière de gestion des déchets et de protection de l’environnement. La mobilisation citoyenne et la collaboration avec les autorités locales et les entreprises privées restent essentielles pour pérenniser ces actions et garantir un avenir plus propre et plus sain pour les générations futures.

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Green School Tours à Lomé

Une campagne inédite de sensibilisation sur la protection de l’environnement dans les établissements scolaires à Lomé portée le comité international ambassadrice de l’environnement (CIAE) en collaboration avec l’association VIVRE POUR SERVIR. Du 19 au 20 décembre 2024, cette campagne dénommée GREEN SCHOOL TOURS vise à sensibiliser la jeunesse togolaise sur la protection de l’environnement. Cette initiative se veut un véritable levier pour inciter les jeunes à prendre part activement à la préservation de leur cadre de vie, dans un contexte où les défis environnementaux sont de plus en plus pressants. Le thème retenu pour cette campagne, « éducation environnementale à la base », met l’accent sur la nécessité d’éveiller les consciences dès le plus jeune âge. Selon Mlle DJATOR La-Gloire, Ambassadrice de l’Environnement Vision Planète Verte 2025 au Togo, « il est essentiel d’amener la nouvelle génération à comprendre et à adhérer à la vision du chef de l’État concernant la protection de l’environnement ». En effet, pour faire face aux défis environnementaux de demain, il est indispensable que les jeunes soient non seulement informés, mais qu’ils se sentent aussi concernés et responsables. L’éducation environnementale permet d’instaurer une culture durable dès le plus jeune âge, en montrant aux élèves qu’ils ont un rôle à jouer dans la transformation de leur cadre de vie. Une vision durable pour l’avenir La campagne GREEN SCHOOL TOURS s’inscrit dans un objectif plus large de sensibilisation des jeunes à la problématique environnementale, dans un pays où la prise de conscience collective reste encore timide. Toutefois, avec des initiatives telles que celle-ci, les espoirs sont grands que ces jeunes, une fois armés de connaissances et de pratiques, puissent devenir des ambassadeurs du changement, à l’échelle locale et nationale. Les actions entreprises par le CIAE ne s’arrêtent pas aux établissements scolaires, mais s’étendront au-delà, dans une volonté d’atteindre un plus grand nombre de jeunes à travers toute la capitale. Cette campagne, qui a déjà démarré sur une note positive, pourrait bien marquer le début d’un changement profond dans la manière dont les jeunes Togolais perçoivent et abordent les enjeux environnementaux. Le GREEN SCHOOL TOURS est une initiative salvatrice qui mérite d’être soutenue, car elle pose les bases d’une éducation environnementale indispensable à la construction d’un avenir plus vert. En impliquant les jeunes dans la protection de leur environnement, l’association VIVRE POUR SERVIR et le CIAE espèrent créer une génération consciente et engagée dans la préservation de la planète. 

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Une couronne au service de la reforestation des terres

Récemment élue ambassadrice de l’environnement pour une durée d’un an, La-Gloire Djator se fixe pour mission d’amener les communautés rurales au Togo à moins détruire l’environnement à travers son projet axé sur la reforestation. Sa vision et sa détermination ont fait d’elle, l’heureuse élue pour porter le flambeau vert du pays afin d’accroître la sensibilisation, l’éducation, et la mobilisation de toutes les couches dans la lutte contre les effets du changement climatique. « Nous allons sensibiliser la population sur les problèmes environnementaux que nous vivons, les amener à une prise de conscience pour qu’elle adhère à la vision d’un Togo vert et sain », confie La-Gloire Djator à la référence africaine.«  Elle projette d’ici-là d’organiser des campagnes de sensibilisation à travers le pays avec un focus sur la formation des femmes en milieu rural sur la production de charbon écologique avec un volet sur les foyers améliorés. « Nous allons beaucoup collaborer avec les ONG pour amener la population sur un nouveau chemin à travers des campagnes de reboisement. Avec ces organisations, nous allons aussi renforcer les capacités des populations à la base en leur apprenant les bonnes pratiques en agroforesterie et même la gestion durable des ressources en eaux », précise la nouvelle ambassadrice. Elle prévoit aussi durant son mandat la tenue des débats publics pour recueillir la voix des populations vulnérables et afin de les prendre en compte lors de l’élaboration des politiques nationales et des projets de développement. Son but en collaborant avec les ONG évoluant dans le domaine de l’environnement, est d’aider la population à lutter contre la déforestation, au profit d’autres utilisations des terres ou la réduction importante du couvert forestier.

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POURQUOI LE PROJET AMBASSADRICE DE L’ENVIRONNEMENT ?

La place des femmes et des jeunes filles dans les processus de transformations positifs et de restauration des écosystèmes reste encore très peu connue et même assez problématique. Cependant, l’émergence des approches éco féministes vont contribuer à mettre en lumière le rôle et les positions des femmes dans la sphère écologique. L’ignorance des gestes écologiques et le manque des politiques écologiques sont essentiellement les premiers facteurs de la dégradation de l’environnement. Les femmes sont les plus vulnérables faces aux conséquences causées par un environnement pollué et donc un moteur irrésistible du changement. Une chose que nous devons enseigner aux jeunes filles d’aujourd’hui est le leadership ; chose manquante depuis longtemps, pas par qu’elles n’en sont pas capables mais à cause de ce que la société a décrété à propos des femmes; alors qu’elles sont les êtres les plus puissants au monde avec pour vertu la persévérance et doivent être mises devant les opportunités. De nos jours, les femmes occupent plus de 61% de la population mondiale. Il est donc nécessaire de mettre les jeunes filles au centre des prises de décision, les éduquer sur les gestes écologiques pour qu’elles contribuent au développement durable et efficient de notre écosystème. Sur le plan international, la vision de ce projet s’inscrit dans le cadre de la promotion d’un environnement sain à travers toutes nos actions et précisément dans l’axe treize (13) et Quinze (15) et cinq (5) des Objectifs du Développement Durable (ODD). Sur le Plan national, la vision du projet s’inscrit dans la feuille de route lancé en 2020 par le gouvernement togolais. En effet, le plan stratégique gouvernemental, met parmi les priorités, la question des risques climatiques majeurs qui prend en compte le reboisement, la lutte contre l’érosion côtière, la lutte contre les déchets plastiques non bio dégradable et la lutte contre la déforestation. Il vise l’extension du taux de couverture forestière à 25 % à l’horizon 2025. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a lancé, le 12 Mai 2021, une initiative de reboisement d’un milliard d’arbres à l’horizon 2030. Au niveau régional, le Togo a pris en 2018, l’engagement de restaurer 1,4 millions de paysages déboisés et dégradés dans le cadre de l’initiative africaine pour la restauration de 100 millions de paysages forestiers (AFR100) à l’horizon 2030. Aussi, le Togo a affiché, au niveau international à la COP 26, sa volonté de réduire de 20,51%, ses émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) de manière inconditionnelle à travers l’aménagement territoriale, la promotion de l’énergie renouvelable et le reboisement à l’horizon 2030 (CDN, 2021). Dans le but de soutenir le gouvernement dans sa lutte contre les changements climatiques et la pollution en général, promouvoir également le leadership et l’autonomisation de la jeune fille en particulier, l’Association Comité International Ambassadrice de l’Environnement (CIAE) , qui a pour but de participer au développement durable du Togo et de l’Afrique a initié depuis 2020 ce projet pour promouvoir la femme et faire participer la jeune fille aux thématiques liées à l’environnement et aux changements climatiques « AMBASSADRICE DE L’ENVIRONNEMENT -VISION PLANETE VERTE » axé sur le thème global : «Femmes et les changements climatiques ». Dans une ambiance festive et conviviale, lors de la soirée élective, les candidates auront l’opportunité de montrer leur talent intello-culturel. Sur le plan « intello », elles défendront leur projet ainsi que le thème de l’édition et sur le plan « culturel », il y aura des prestations artistiques et culturels diverses qu’elles animeront tout au long de la soirée. Au total (03) trois lauréates seront sélectionnées : Une ambassadrice, celle qui portera le diadème pour la cause environnementale et deux Promotrices. Elle représente le Togo à des instances internationales dans les sphères écologiques. L’édition de cette aura lieu le 12 octobre 2024 au palais des congres de Lomé

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